Safari photo à Duba, Great Plains Conservation

Au cœur du Delta d’Okavango, dans une concession privée de 33000 hectares, Duba Explorers se perd dans les méandres des terres botswanaises et du fleuve Okavango. C’est un paysage unique, composé de bois, d’îlots et de plaines alluviales, qui abrite des milliers d’animaux, que les connaisseurs viennent admirer.

Beaucoup considèrent les plaines de Duba comme le Maasai Mara de l'Okavango en raison du volume de sa faune sauvage. Entre safaris en 4x4 et balade en bateau à la découverte des splendeurs locales, votre expérience sera riche en découvertes ! 

Duba Explorers Camp est un camp romantique, qui offre la sensation d’un authentique safari d’expédition haut de gamme des années 1920.
Ce camp intime, avec sa propre zone de traversée privée à l'intérieur de la concession et à l'écart de celle de Duba Plains, se compose de cinq tentes de style expédition, au confort surprenant, en toile légère et aérée, sur une terrasse légèrement surélevée, chacune avec vue sur la plaine inondée environnante.
L'espace principal est situé sous une marquise, sur une terrasse surélevée. Il comprend un espace salle à manger et salon qui s'ouvre sur l'extérieur de tous les côtés.

La nuit tombée, vous apprécierez le feu de camp pour vous remémorer les aventures de la journée.

Au cœur du Delta d’Okavango, dans une concession privée de 33 000 hectares, Duba Plains se perd dans les méandres des terres botswanaises et du fleuve Okavango. C’est un paysage unique, composé de bois, d’îlots et de plaines alluviales, qui abrite des milliers d’animaux, que les connaisseurs viennent admirer. Beaucoup considèrent les plaines de Duba comme le Maasai Mara de l'Okavango en raison du volume de sa faune sauvage. Entre safaris en 4x4 et balade en bateau à la découverte des splendeurs locales, votre expérience sera riche en découvertes !
Duba Plains, c'est également l'endroit que les cofondateurs de Great Plains Conservation, Dereck et Beverly Joubert, ont choisi pour leur base d'origine et pour leur film "Relentless Enemies".

L'Afrique a vu naître bon nombre de couples légendaires. Certains, imaginaires, comme Charlie Allnut et Rose Sayer, alias Humphrey Bogart et Katharine Hepburn, dans The African Queen. D’autres bien réels, comme Karen Blixen et Denys Finch Hatton, couple au destin hors du commun et inoubliables héros de Out of Africa, ou encore Osa et Martin Johnson, premiers cinéastes animaliers, stars de Hollywood dans la première moitié du XXème siècle et dont le film de Michel Viotte, Les Amants de l’Aventure raconte l’histoire romanesque.
Dereck et Beverly Joubert sont sans conteste éligibles à cette liste faite de légendes.

Ecrivains, cinéastes et photographes animaliers, sociétaires de la National Geographic Society, ils sillonnent l’Afrique depuis plus de trente ans. Trente ans d’une vie à deux, consacrée à la conservation et à la protection animalière. Rendus célèbres par plusieurs films tournés au Botswana, ils sont à l’origine du projet Big Cats en collaboration avec le National Geographic, une initiative visant à étudier et protéger les grands félins africains.

Au coeur du delta de l'Okavango, se trouve la concession privée de Duba Plains, l'endroit que Dereck et Beverly ont choisi pour leur base d'origine et pour leur film "Relentless Enemies", qui met la lumière sur l'interaction entre les buffles et les lions très actifs de la concession. Deux lions mâles, les Duba Boys, sont célèbres pour leurs chasses aux buffles. Ils sont exceptionnels par leurs longues années de domination sur les groupes de femelles de cette zone. Ils étaient déjà présents à l'ouverture du Duba Plains Camp en 1996. Nés en 1992, ils faisaient partie de la Tsaro pride que dirigeait leur père Stick. Ce dernier fut chassé par son concurrent Squinty à la fin de l'année 1996, conservant le pouvoir jusqu'en 1999. C'est alors que les Duba Boys reprirent le leadership de leur meute maternelle, chose rare car les mâles sont censés quitter leur troupe pour acquérir la domination. Ayant atteint l'âge de quinze ans, ils ont eu pas moins de 21 enfants. Cette exceptionnelle période de pouvoir tient au fait qu'il n'existe qu'une unique voie d'accès à leur territoire, un pont de bois ; leurs adversaires potentiels ne pouvaient les surprendre de tous côtés. C'est en 2007, qu'un mâle, l'élégant Skimmer, les a défiés. Il a attaqué et blessé un des Duba Boys, qui périt le 27 décembre de cette année, et a commencé à s'accoupler avec les femelles de la Tsaro pride.